Une discipline exigeante
« No pain, no gain »
Pour être performant dans cette discipline il faut avoir une rigueur au niveau des entrainements. Avoir un programme de travail : foncier, fractionné, PPG (préparation physique générale) sans oublier une bonne préparation musculaire ciblant les muscles de la discipline, tout dépend de l’objectif que l’on s’est fixé (5 km, 10km, semi marathon, marathon, trail….) les défis ne sont pas les mêmes mais l’enjeu reste le même : donner le meilleur de soi.
Pour progresser pas d’autre choix que de réaliser du volume : kilomètres, travail et séances adaptées. Il faut donc établir un plan d’entrainement en fonction des capacités de chacun. C’est souvent là que la volonté peut flancher car s’entrainer au printemps ou l’été quand la météo est agréable est différent des séances automnales ou hivernales sous des températures frisquettes et des pluies continues. Mais un vrai coureur à pied ne s’arrête pas devant de tels obstacles car pour lui la progression passe par le travail. La pluie ne m’a jamais empêché de courir au contraire j’aime la sensation de courir dans la gadoue comme un gamin (rires).
Un équipement adapté, les outils pour progresser
Bien sûr au delà des capacités physiques, la course à pied demande une bonne paire de chaussures adaptée. Comme une voiture a de bons pneus, un bon coureur doit avoir une bonne paire de chaussure de running et aujourd’hui le choix est titanesque : aérodynamisme, drop, légèreté la gamme est immense. Pour ma part je possède quelques dizaines de paires, je varie suivant les séances : plus légères avec plaque de carbone pour une meilleure explosivité adaptées au running et au fractionné, plus d’amortis et de confort pour un entrainement plus long.
Un soutien moral, un encouragement précieux
Le défi que l’on se donne sur la course à pied est d’autant plus fort lorsqu’il est partagé et le soutien des siens est une source de motivation inégalable.